Parfois les portes qui séparent deux pièces sont aussi équipées de vitraux, et même de très grands vitraux s'il s'agit de portes doubles dont l'ouverture permet de transformer deux pièces de dimension moyenne en une très grande. On peut les apercevoir de la rue si on est attentif, mais il est impossible de les photographier.
Alors on compte sur vous pour nous aider, merci.
Bordures rouge-blanc-jaune à motif répétitif et écoinçons en forme de fleur.
Boulevard d'Arcole, vers 1870
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Porte de séparation entre vestibule et cuisine.
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Séparation entre vestibule et puits de jour (maintenant salle de bain). Rue du Printemps (1902-1903).
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Recto-verso d'une porte d'entrée de cuisine, le grain des verres utilisés et la différence de luminosité a des conséquences importantes sur la perception des couleurs. Rue d'Orléans.
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Porte de séparation entre vestibule et cuisine. Le motif se retrouve sur beaucoup d'impostes, mais jamais tout à fait identique.
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Trois paires de portes intérieures rue Claire Pauilhac (deuxième moitié 19ème).
Utilisation de verre sablé et/ou gravé à l'acide pour les deux premières.
Vitres peintes pour les suivantes en vis à vis, le fer forgé joue un rôle important pour la dernière paire également placée en vis à vis dans un couloir.
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Deux portes ont été supprimées à l'intérieur de cette maison (rue du capitaine Escudié).
Les vitraux ont été récupérés et montés sur des portes de placard.
(Le montage ci-dessous a été réalisé avec un ordinateur à partir d'une des portes).
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Eclairage artificiel en bas de cette double porte qui ne sert plus qu'au décor.
Cives ouvragées et médaillon avec diable peint en jaune (oxyde d'argent).
Rue du capitaine Escudié, vers 1895.
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Rue Perbosc, vers 1905.
Verres gravés à l'acide, multicouches, monogrammés VG (Victor Gesta).
Entre la porte sur rue et le couloir, une verrière dans une porte double forme une entrée.
Monogramme RB (Rech - Bordes, couple qui acquit la maison en 1913. Peut-être est-ce le même Bordes Bernard, négociant, qui a racheté le château après la mort de L-V. Gesta en 1894 ?).
Beau travail sur cette maison construite par Dandrac entre 1902 et 1909. Le terrain appartenait auparavant à Louis Gesta, troisième fils du maître verrier, fondateur de la manufacture avenue Honoré Serres.
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Boulevard Matabiau, cette jolie porte sépare l'entrée sur rue du vestibule (vers 1880)
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Peu de décors originaux.
La maison de Berthe Gesta n'a conservé que deux vitraux, dont un peint avec minutie ; il éclaire encore la salle de bain à travers un décor largement aquatique.
Cette maison est voisine de celle des jeunes Gesta (Louis et Gabriel) qui font, depuis le 17 rue de la Balance, concurrence à leur ainé Henri Louis-Victor qui a conservé l'atelier du père maître verrier (actuellement garage de réparation automobile avenue Honoré Serres).
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Imposte au-dessus d'une porte de salle de bain. Rue Volta vers 1910